mardi 31 octobre 2006

EnquĂŞte Logomatic

Pour ceux qui ne l’auraient pas vu, ce blog est associĂ© Ă  un site de vente en ligne de logos d’entreprise.
www.logomatic.fr
A l’image de ce blog, Logomatic se veut ĂŞtre le système D de la crĂ©ation de logo : proposer des logos Ă  250 eurosHT alors qu’une agence de Com demande 1500 au moins…d’accord ce n’est pas le mĂŞme service… mais pour ce prix c’est un très bon investissment de dĂ©part ;o)
Notre objectif est d’aider les crĂ©ateurs Ă  partir du bon pied avec une identitĂ© graphique de professionnel.

N’hĂ©sitez donc pas lors de vos visites sur notre site www.logomatic.fr
Ă  nous faire des remarques dans les commentaires de ce billet…
Ils seront tous les bienvenus.

Merci d’avance

lundi 30 octobre 2006

Droits d’auteurs – Les photos

“Les droits d’auteur s’appliquent Ă  toute oeuvre de l’esprit, quels qu’en soient le genre, la forme d’expression, le mĂ©rite ou la destination, selon la formule de l’article L 112-1 du Code de la PropriĂ©tĂ© intellectuelle (CPI). La notion d’oeuvre est particulièrement large : oeuvres littĂ©raires, graphiques, musicales, images, photographies, articles de presse, logos, logiciels, la documentation technique, Ă©crits scientifiques, cette confĂ©rence, un cours, une publicitĂ©, une oeuvre architecturale etc… ” … “Pour bĂ©nĂ©ficier de la protection reconnue par le droit d’auteur, aucune formalitĂ© n’est exigĂ©e, l’oeuvre est protĂ©gĂ©e du seul fait de sa crĂ©ation. Nul besoin d’un dĂ©pĂ´t ou d’apposition de la mention “copyright” ou “tous droits rĂ©servĂ©s”.”
extraits de l’article http://www.internet-juridique.net/publications/droitcomm/libreetcontenus2002.html

En d’autres termes, l’absence de mention sur une photographie ne signifie pas qu’elle peut ĂŞtre utilisĂ©e librement. Si vous vous lancez dans la crĂ©ation de votre plaquette ou de votre site internet, ne prenez pas de photos sur internet sans l’accord de leurs auteurs.

Bâches publicitaires

Si vous avez des travaux Ă  faire, une idĂ©e telle que celle-ci peut compenser votre baisse d’activitĂ©.
Attention tout de mĂŞme Ă  la règlementation…

lundi 23 octobre 2006

Les bonnes pratiques pour travailler avec un imprimeur – Fond perdu et blanc tournant

3 règles !

1 • Un document doit toujours être créé à sa taille réelle et définitive (1) (ni plus grand pour incorporer des marges, ni plus petit pour s’imprimer complètement sur la feuille de votre imprimante !).

2 • Il est nĂ©cessaire de tenir compte du blanc tournant : une zone entourant la page, et dans laquelle aucun texte ne doit figurer (2) (confort de lecture, emplacement des doigts, …)

3 • Si un fond de page ou une photo doit être contre un bord de page, cette image devra déborder d’au moins 2 mm à l’extérieur du document.
Attention (1) : tous les logiciels ne permettent pas de faire déborder une image hors de la zone de travail.
Attention (2) : pour pouvoir faire déborder cette image, son contenu devra être adapté (pas de photo avec un sujet cadré trop serré par exemple).


Le blanc tournant
Il ne concerne que le texte. Il doit ĂŞtre proportionnel Ă  la taille de votre document.
Exemples :
• de 8 à 15 mm pour un A4
• de 3 à 8 mm pour une carte de visite
• …

Le fond perdu
Il ne concerne que les images et les couleurs de fond. Il doit ĂŞtre de 2 mm Ă  5 mm.
Exemple (3) : mauvais choix d’image pour un fond perdu. En effet, s’il faut faire déborder de 2 mm l’image à l’extérieur (matérialisé par le trait jaune pointillé), le visuel se voit tronqué dans une partie “utile”.
Solution 1 : si l’image possède encore de la matière à droite, déplacer l’image vers la gauche, et on récupère la partie “utile” de la photo (4).
Solution 2 : déplacer l’image de manière à ne plus la tronquer (5).

Exemple (6) : bon choix d’image pour un fond perdu. Il n’y a pas de zone réellement “utile” dans cette photo, et on pourra facilement rogner (matérialisé par le trait jaune pointillé) tant en bas qu’à gauche, sans dénaturer le contenu de la photo.

A vous de jouer, logiciel de mise en page qui permettre de faire ce genre de choses sont InDesign (Adobe), XPress et Publisher (Microsoft) mais ce dernier est déconseillé.

Un logo dans la continuitĂ© d’ALFA ROMEO

Le logo d’ALFA ROMEO est un exemple de continuitĂ©, Ă  l’image de la sociĂ©tĂ©. Le petit historique viendra justifier des changements pas forcement stratĂ©giques mais cependant nĂ©cessaires. L’objectif de chacun d’entre eux a Ă©tĂ© la continuitĂ©. ;o) On fait pas toujours ce que l’on veut.

De 1910 Ă  1915
Le logo d’Alfa Romeo a contenu deux symboles de Milan : le serpent de la famille de Visconti sur un fond bleu-clair, et une croix rouge sur un fond blanc, entourĂ© par un petit cercle mĂ©tallique avec les mots ALFA-MILANO. Sur des modèles Ă©tablis de 1910 Ă  1915, le diamètre externe du bouclier Ă©tait de 65 millimètres, et les mots ALFA et MILANO ont Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s par deux figure-de-huit knots.




De 1915 Ă  1925
Quand Nicola Romeo a achetĂ© la compagnie le logo Ă©tait un petit cercle en acier entourĂ© des mots : MILANO DE ROMEO D’ALFA.










De 1925 Ă  1946
Après que l’Alfa P2 ait gagnĂ© le championnat de emballage du premier moteur du monde l’insigne a Ă©tĂ© entourĂ© par une guirlande de laurier. Le diamètre de cercle a montĂ© de 65 Ă  75 millimètres. En 1930 le diamètre du cercle a Ă©tĂ© rĂ©duit Ă  60 millimètres et sans changement restĂ© jusqu’en 1945.







De 1946 Ă  1972
Quand la monarchie italienne a Ă©tĂ© supprimĂ©e et le pays est devenu une rĂ©publique, les arcs de dynastie de la Savoie ont Ă©tĂ© Ă©changĂ©s pour deux lignes onduleuses et le diamètre d’insigne a Ă©tĂ© rĂ©duit Ă  54 millimètres.
En 1950 un nouvel insigne dans le laiton emailĂ© mais avec le mĂŞme diamètre a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©. Dans 1960 la mĂŞme conception d’insigne a commencĂ© Ă  ĂŞtre faite de plastique.







De 1972 Ă  2006
Depuis que l’usine d’ALFASUD a Ă©tĂ© construite dans Pomigliano le mot MILANO n’est pas apparu sur l’insigne qui cependant maintient ses deux symboles milanais surmontĂ©s par le ROMEO des mots ALFA.









lundi 16 octobre 2006

Des idées, toujours des idées de publicistes




Les bonnes pratiques pour travailler avec un imprimeur – Le format PDF

Quel que soit le logiciel utilisĂ©, une des meilleures solutions pour transmettre une mise en page Ă  un imprimeur est le format PDF, … mais en respectant leurs contraintes techniques !
En effet, le PDF permet le meilleur comme le pire, et mal réglé, la plus belle des mises en page se verra irrémédiablement réduite à un ensemble de taches de couleurs accolées à quelques caractères.
Pour générer un PDF, il y a deux solutions :
• exporter depuis une application incorporant cette fonction (XPress ou InDesign)
• imprimer avec une imprimante virtuelle PDF (Adobe Acrobat complet sur MAC/PCou PDFCreator sur PC).

“L’avantage du format PDF est qu’il prĂ©serve les polices, les images, les objets graphiques et la mise en forme de tout document source, quelles que soient l’application et la plate-forme utilisĂ©es pour le lire. Les fichiers PDF peuvent ĂŞtre crĂ©Ă©s avec des options personnalisĂ©es, tant aux niveaux de la compression des images et des textes, de la qualitĂ© d’impression du fichier, que du verrouillage (interdiction d’impression, de modification…).” Wikipedia

Ces qualitĂ©s lui permettent donc de “standardiser” les formats et notamment pour l’impression. Il est aujourd’hui incontournable dans ce secteur.

Pour ce faire vous pouvez donc utiliser diverses logiciels dont celui d’Adobe (mais payant) ou PDFCreator (Gratuit).
Vous pouvez le telecharger ici

Double-cliquez sur l’icĂ´ne “PDFCreator” sur votre bureau, ensuite allez dans le menu “Imprimante ->Options” et choisissez la ligne “PDF”. RĂ©glez le paramètre “Compatibilité” sur “Acrobat 4.0 (PDF 1.3)”.
Ne modifiez aucun autre paramètre !

Comment utiliser PDFCreator ?
Comme une imprimante ! Tout simplement, … ou presque. Il vous faut simplement savoir que vous imprimez sur une imprimante virtuelle, … donc sur du papier virtuel ! Ce qui signifie que vous pouvez accĂ©der Ă  tous formats de papiers. Par exemple : une mise page rĂ©alisĂ©e sur un format A4 devra ĂŞtre imprimĂ©e sur un format papier A3, ce qui nous permettra d’avoir les fonds perdus et les repères de coupe. Plus de dĂ©tails dans un prochaine article.

Dans la pratique, 2 cas :
1 -Votre logiciel permet d’imprimer sur un papier de taille diffĂ©rente de celui utilisĂ© pour la mise en page (MS Publisher par exemple) ; il faut aller dans le menu Fichier -> Mise en page et rĂ©gler (option Imprimante et papier) l’imprimante (PDFCreator) et le format du papier, puis dans le menu Fichier -> Imprimer … et imprimer !

2 – votre logiciel ne permet pas de choisir un autre format d’impression que celui dĂ©fini pour la mise en page (MS Word ou MS Excel par exemple) ; vous ne pouvez donc qu’imprimer simplement par le menu Fichier -> Imprimer et choisir l’imprimante PDFCreator.

VĂ©rification et test du PDF
CrĂ©er un PDF n’est malheureusement pas une science exacte. C’est pour cela qu’on doit toujours vĂ©rifier et tester le fichier avant son transfert Ă  l’imprimeur, car ce dernier ne pourra que très difficilement intervenir sur ce format, et s’il intervient, le rĂ©sultat est toujours alĂ©atoire (polices ou blocs qui disparaissent, voire se dĂ©placent, …). Pour Ă©viter ceci nous vous conseillons :
– de toujours relire le PDF
– d’imprimer en couleur ce PDF avec la dernière version d’Acrobat ou d’Acrobat Reader (v7 Ă  ce jour) car les version prĂ©cĂ©dentes d’Acrobat ne gèrent pas les transparences et autres subtilitĂ©s du langage PostScript (…et sous rĂ©serve que votre imprimante les supporte !)

Vous n’avez plus qu’Ă  l’envoyer chez l’imprimeur
Attention ! Il sera forcement lourd, il faudra peut ĂŞtre l’envoyer par CD ou sur un ftp.